Si les récentes belles performances d’Alpine, deux podiums consécutifs en mondial d’endurance WEC, respectivement à Imola puis ensuite à Spa, pouvaient laisser quelque raison d’espérer une bonne performance au Mans, il en était tout autrement pour Peugeot qui, à vrai dire continuait à tirer sa misère sur les circuits du championnat du monde d’endurance WEC.
De plus une BOP (balance des performances) inexplicablement sévère pour les lionnes ne pouvait pas sortir la marque sochalienne de son marasme…
Dès la course lancée, l’un de ses pilotes, le pourtant très performant et chevronné Ecossais, Paul Di Resta commettait une grossière erreur en tentant le dépassement d’une LMP2, le contraignant à traverser le bac à graviers et à allait s’échouer – fort heureusement – sans trop de mal néanmoins, dans le mur de pneumatiques !
Faute qui allait hélas déjà retarder la N°94, tandis que même si elle était dans l’arrière-sillage des voitures de tête, on voyait bien que la voiture-sœur, la N° 93, n’avait pas le tempo nécessaire à l’espérance d’une belle performance au Mans.
Des causes objectives à l’échec des françaises



Des raisons subjectives sans doute




