Chez OAK Racing, le départ des 24 heures constitue un morceau de bravoure important quant à l’organisation logistique et sportive.En effet avec 3 voitures alignées, la N° 15 en LMP1, et les N° 24 (moteur Judd) et N°35 (moteur Nissan), il faut dimensionner toute l’organisation pour une durée de course trois fois plus longue que le format “habituel” de l’Endurance.Ou les épreuves du nouveau Championnat du monde, ne durent que Six HeuresLe Team aborde cette 80ème édition des 24 Heures du Mans aux avant- postes de la catégorie LMP2, grâce à la très belle performance d’Olivier Pla, classant la Morgan-Judd N°24, en seconde position sur la grille de départ ce samedi. La Morgan-Nissan LMP2, N°35, a joué en tête de tableau une bonne partie de la soirée des essais qualificatifs, avant de terminer à la septième place de la catégorie, grâce au temps de Maxime Martin.Malgré son bel effort dans les derniers tours sur la OAK-Pescarolo-Judd N°15 en LMP1,, Dominik Kraihamer termine à la douzième place au général.Les deux équipes LMP2, apparaissent chacune comme des candidates très sérieuses dans leur catégorie, Olivier Pla, associé à Mathieu Lahaye et Jacques Nicolet, signant son meilleur tour en 3’38’’598, apportant la preuve que la voiture est très performante, mais cela n’a pourtant pas suffi pour figurer en première place sur la grille de départ samedi.Sur la voiture-sœur, la N°35, Maxime Martin, Bas Leinders et David Heinemeier Hansson, ont pu profiter de quelques tours clairs, mais n’ont pu améliorer leur chrono de 3’39’’899, réalisé en deuxième séance d’essais libres.En catégorie LMP1, Bertrand Baguette semblait être préposé pour établir le meilleur chrono de la voiture effectué en Q2, mais c’est finalement son coéquipier Dominik Kraihamer qui a réalisé le temps de référence en 3’35’’584. Franck Montagny de son côté poursuit son adaptation avec succès.Le warm-up, a été l’occasion de découvrir la pluie, absente depuis le début de la semaine.Même si la situation avait été envisagée, rien ne remplace les vérifications en situation réelle. C’est donc à l’issue de cette séance fort arrosée que nous avons demandé à Sébastien PHILIPPE, le manager général, puis à Jacques NICOLET, propriétaire de l’écurie et gentlemen driver, de nous confier leurs impressions avant le départ de la course.


LE TEAM OAK N’OUBLIE PAS…. GUILLAUME MOREAU, SON PILOTE ACCIDENTE !!!
