De retour la saison dernière en 2021 au calendrier international du Championnat du monde des rallyes WRC, et ce après dix-neuf ans d’absence, le Kenya s’apprête à vivre sa deuxième édition de suite en mondial
L’épreuve, dispose d’un contrat avec le promoteur jusqu’en 2026!
Cette année, les concurrents au nombre de 34, devront disputer dix-neuf spéciales.
En effet il y aura trente-quatre équipages engagés (12 Rally1 + 10 Rally2) autour de Naivasha, la ville plaque tournante du rallye et située à deux heures de route environ au nord de la capitale du Kenya, Nairobi.
Chez Hyundai, Oliver Solberg est aligné sur la troisième i20 Rally1 aux côtés de Thierry Neuville et d’Ott Tänak.
L’équipe M-Sport engage cinq Ford Puma Rally1 pour Craig Breen, Greensmith, Adrien Fourmaux, le Grec Jourdin Serderidis. Et le pigiste de nouveau, le nonuple Champion du monde le Français Sebastien Loeb
L’Alsacien qui rappelle :
Je ne connais pas le Kenya d’aujourd’hui, tout ce que j’ai vu, ce sont des embarquées, et ce rallye semble être cassant avec de grosses pierres, donc les crevaisons pourraient être un problème
Du coté de Toyota, il y aura quatre Yaris Rally1 aux mains du leader du classement général provisoire des pilotes, le Finlandais Kalle Rovanperä, lequel sera épaulé par Elfyn Evans, le Japonais Katsuta.
Et l’autre Seb … Sebastien Ogier de retour temporaire comme Loeb après sa participation la semaine dernière à la grande semaine des 24 Heures du Mans
Lequel victorieux l’an passé après avoir notamment su profiter des déboires de Thierry Neuville, avant de s’envoler pour Nairobi, le Français, s’attend encore une fois a une course animée et pleine de surprises et il a indiqué :
“J’ai hâte de retourner au Kenya. L’année dernière, nous avons eu un accueil vraiment agréable et une excellenteatmosphère. C’était quelque chose de spécial et différent de ce à quoi nous sommes habitués. Gagner était la cerise sur le gâteau et ce sera formidable d’essayer de répéter cela cette année avec un peu de connaissance de ce que l’on aura dans les spéciales. Nous avons vu que cela pouvait être un rallye très difficile ; Je pense que presque tout le monde avait un problème à un moment donné et nous étions à plus de de deux minutes de la tête avant de gagner. C’est donc un rallye où il ne faut jamais baisser les bras, et cette année avec des voitures encore neuves, il faudra peut-être être encore plus malin qu’avant
