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Avant le départ avec Jacques Seguela le parrain de l’aventure[/caption]
Rencontre inattendue et retrouvaille en ce mois d’aout, au cœur de l’été 2023 et chez un ami commun, Thibaut Kayser qui organisait un diner de potes, avec un personnage tout à fait exceptionnel ‘hors-norme et passionnant, que j’avais croisé autrefois et à l’invitation de Robert Sarailh, le patron des ascenseurs ATS qui était l’un de ces mécènes, lorsqu’Eric préparait son Tour du monde en traction !
L ‘aventurier Eric Massiet… C’était en 1988!!! Pas hier … vous en conviendrez. Donc naturellement ravi aprés tant d’années de le revoir.
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ALORS UN PEU D’HISTOIRE…
Son histoire débute le 8 décembre 1962 à Paris. Ensuite sa famille s’installe à Nantes. Les années passent et un jour de Novembre 1984, il découvre dans le film Diva de Jean-Jacques Beneix, la traction avant blanche Citroën, de Richard Boehringer. Il s’exclame « Je veux la même. » Ecoutons la suite : « J’avais 22ans, je roulais avec une 203 Peugeot de 1948 et j’ai déniché et trouvé une Traction Avant noire, datant de 1955, laquelle appartenait au curé de la Planche près de Nantes. Je l’ai vite repeinte en blanc.» Puis il annonce et propose à sa copine Agnès et deux potes, Yann et Franck de faire – très prisé à l ’époque – la fameuse et célèbre Route 66 aux Etats-Unis, celle qui relie Chicago a Santa Monica (Los Angeles). L’aventure débute à l’été 1985. Tout se passe bien mais en fin de parcours dans le désert du Nevada, dans la Vallée de la mort, joint de culasse out, bielle coulée… avant la célèbre localité de Furnace Creek Ranch, situé aprés Beaty. Avec l’écurie Renault F1, nous nous y étions arrêté – les journalistes autos – un soir, où depuis Los Angeles, pour le fun et plutôt que de prendre l’avion, nous avions rejoint Las Vegas par la route, lors du tout 1er Grand Prix de F1 disputé sur le parking du Caesar’ Palace, le 17 octobre novembre 1981 et remporté à l’époque par la Williams de l’Australien Alan Jones devant la Renault du Français Alain Prost. Mais revenons à l’ami Massiet. Disposant miraculeusement de l’indispensable revue RTA (Revue Technique Automobile) il démonte et le voila parti en stop vers L.A (Los Angeles)





