L’écurie Française Signatech en charge du programme Alpine LMDh en mondial d’endurance WEC, la voiture devant débuter en course au début de la saison 2024, continue et poursuit le développement de l’Alpine A424 LMDhL’équipe en profite également pour tester de nouveaux pilotes pour son arrivée dans la catégorie reine du FIA WEC.Après les premiers roulages notamment au Paul Ricard en F rance puis à Motorland Aragon à Alcaniz en Espagne, le Team Signatech Alpine s’est déplacé en Andalousie pour de nouveaux tests qui se sont déroulés sur le circuit de Jerez de la FronteraOù l’équipe avait invité Mick Schumacher pour piloter cette Alpine A424. 
Ce mardi 17 octobre 2023, le fils de l’ancien septuple Champion du monde de Formule 1 a donc pris la piste et essayer pour la toute première fois, un proto d’endurance, lui qui jusqu’alors n’a piloté que des monoplaces ! 
Philippe Sinault, qui dirige avec succès cette équipe Signatech depuis le retour de la marque Alpine en compétition en 2012 en endurance en ELMS (European Le Mans Séries) avec déjà un premier sacre cette année-là, avec le titre de Champion décroché par la paire formée des duettistes tricolores Nelson Panciatici et Pierre Ragues, a confié à propos du jeune pilote Allemand :« Mick Schumacher a montré un certain intérêt pour les voitures d’Endurance et nous avons pu lui offrir l’opportunité de tester notre LMDh. Comme il a toujours couru en monoplace jusqu’à présent, nous avons opté pour une séance écourtée d’une journée seulement pour lui permettre de mieux comprendre le pilotage d’une voiture à roues fermées. » 
Si l’on en croit ce qui se dit en interne, d’autres essais avec Mick ne sont pas exclus, mais le choix des pilotes Alpine n’est pas encore à l’ordre du jour et sera annoncé plus tard au cours de l’année.En attendant après le roulage mardi de Mick Schumacher, les essais de Jerez se sont poursuivis ce mercredi avec le Français Charles Milesi et le Brésilien André Negrão, deux des pilotes actuels en mondial WEC EN LMP2, lesquels se sont relayés au volant de l’A424, participant d’ailleurs à la première simulation de nuit. Gilles GAIGNAULTPhotos : TEAM
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