Cette semaine, le rideau se lève sur une nouvelle saison de Championnat du Monde des Rallyes WRC, avec le coup d’envoi de l’épreuve la plus difficile au monde, le prestigieux Rallye Monte-Carlo (25-28 janvier).
Treize manches réparties sur quatre continents attendent les concurrents pour la cinquante-deuxième saison de l’histoire du mondial WRC.
Pour lancer cette nouvelle édition en beauté, le célèbre rendez-vous Monégasque a attiré soixante-dix voitures.
Mais beaucoup plus en réalité, l’ACM (Automobile Club de Monaco) ayant refusé plusieurs dizaines de demandes et ce pour cause de place disponible pour les assistances !
Plus ancienne épreuve du calendrier WRC, le Rallye Monte-Carlo est sans doute la plus imprévisible de l’année.
Cette année, l’événement quitte sa base en Principauté de Monaco pour retrouver la ville de Gap pour la première fois depuis 2021.
Derrière son parcours Alpin relativement facile sur des routes asphaltées, les conditions hivernales compliquent la donne et mettent l’accent sur des choix cornéliens de pneumatiques.
Un nouveau barème de points pour une nouvelle dimension tactique
Cette année, le WRC propose un système remanié de points apportant plus d’excitation et d’intrigue aux dernières spéciales de chaque rallye le dimanche matin. Le barème attribue jusqu’à dix-huit points sur la base du classement général au samedi soir, puis jusqu’à sept unités supplémentaires pour les performances du dimanche, sans oublier le maximum de cinq points bonus en jeu pour l’ultime épreuve spéciale, la fameuse Power Stage, en toute fin de rallye. Cette nouveauté n’influence aucunement le concept de base déterminant le vainqueur du rallye. Comme toujours, l’équipage avec le temps total le plus bas sur l’ensemble de l’épreuve sera désigné vainqueurUn plateau remanié au mercato



Ogier vise de nouveaux records au Monte-Carlo
