Jacques BOLLE au départ de la troisième manche La seconde manche des 12 heures de Pont de Vaux est lancée, la pluie à nouveau, a fait son apparition.
Avec les organisateurs et le Président BOLLE, nous cherchons abri à la buvette des commissaires.
Maurice MAINGRET, responsable de cette épreuve, fait les présentations et rappelle que j’étais son manager endurance, notamment pour l’écurie KAWASAKI-PIPART, en 1978.Avec le Président, nous nous isolons, autant que faire se peut, et débute un long entretien dont voici la retranscription quasi intégrale.Qu’est-ce qui motive votre visite sur l’épreuve des 12 heures de Quad, de Pont de Vaux ?« Non seulement, c’est la première fois que je me rends moi-même ici à Pont de Vaux, mais c’est aussi la première fois qu’un Président de la Fédération Française de Motocyclisme, se rend sur cette grande épreuve. Alors, pourquoi ? Et bien en effet, c’est une marque de reconnaissance, parce que je crois que c’est un grand événement, à l’instar du Touquet par exemple. Ce ne sont pas des épreuves, comptant pour un Championnat du monde ou un classement mondial, mais par contre ce sont des épreuves d’envergure nationale, voire internationale. En tout cas, il y a un plateau international pour des épreuves dont on parle dans toute la France. Pour moi, il était par conséquent normal, qu’à l’occasion, un Président de la Fédération Française de Moto, se déplace sur cette épreuve comme, il se rend sur le Touquet. »
Jacques BOLLE, le directeur de course et Maurice MAINGRET

Le Président BOLLE découvre la course

Le Président BOLLE se mouille

Jacques BOLLE, le Maire de Pont de Vaux et Maurice Maingret
