Pour son retour dans la catégorie reine de l’Endurance, l’équipe Aston Martin mise sur des livrées qui allient tradition et modernité et dans les deux Championnats auxquels la firme Britannique sera engagée.D’une part en Mondial d’endurance WEC FIA et d’autre part, outre-Atlantique dans celui de l’IMSA Weather, où chaque équipe aura son identité propre, renforçant la présence visuelle de la Valkyrie Hypercar.Adrian Hallmark, directeur général d’Aston Martin Lagonda, a expliqué :« C’est un moment de grande fierté pour Aston Martin. Revenir dans la lutte pour la victoire au classement général des 24 Heures du Mans est au cœur même de nos valeurs et marque une étape clé dans notre héritage en sport automobile »Et il a encore ajouté, précisant :« En tant que seule hypercar née pour la route à relever le défi au plus haut niveau de l’endurance, aussi bien en WEC qu’en IMSA, la Valkyrie incarne notre philosophie sportive durable, qui définit la marque depuis plus d’un siècle. »
En WEC, les deux Aston Martin Valkyrie alignées par Aston Martin THOR Team, les N°007 et N°009 engagées en Championnat du Monde d’Endurance et qui seront respectivement pilotées par le duo formé de Harry Tincknell et de Tom Gamble et par la paire composée de Marco Sorensen et d’Alex Riberas, arboreront une robe verte Racing Green la couleur historique et emblématique et chère au constructeur Britannique.Des touches jaune fluo sont présentes sur les rétroviseurs, les arêtes des ailes et les contours aérodynamiques.Cette teinte, inspirée du légendaire « British Racing Green », rappelant les heures de gloire d’Aston Martin aux 24 Heures du Mans, et évidemment bien sur la victoire de la DBR1 N°5, le dimanche 21 juin 1959, avec l’équipage que formait l’Américain Caroll Shelby et l’Anglais Roy Salvadori.Le Team David Brown Racing, signant le doublé avec le Français Maurice Trintignant et le Belge Paul Frère, tandem classé avec la N°6, à 1 tour des vainqueurs.
Cette couleur symbolise l’héritage de la prestigieuse marque dans le sport automobile et son ambition de triompher à nouveau dans le monde de l’endurance.La Valkyrie Hypercar dispose d’un châssis monocoque en fibre de carbone et elle est propulsée par un V12 atmosphérique de 6,5 litres conçu par Cosworth, délivrant 500 kW (680 ch) conformément à la réglementation Hypercar.Son aérodynamisme avancé, avec tunnels Venturi sous la voiture et ailerons ajustables, lui garantit une efficacité optimale sur piste.
UNE DIFFÉRENCE AVEC LA VALKYRIE DE L’IMSA
Aux USA, l’Aston Martin Valkyrie engagée dans le Championnat d’endurance de l’IMSA Weather sera différente avec une livrée spécifique.La N°23, sera confiée à Ross Gunn et Roman De Angelis et elle, elle arborera le bleu emblématique du Team ‘The Heart of Racing. Ce choix souligne l’engagement fort de l’équipe et assure une identité claire sur les circuits Américains.Comme les Hypercar du Mondial WEC, cette version GTP dispose d’une boîte de vitesses séquentielle à sept rapports et de suspensions à double triangulation, conçues pour supporter les rigueurs des courses d’endurance.
Depuis les premiers essais de la Valkyrie en juillet 2024, The Heart of Racing s’est lancé dans un vaste programme d’essais et de développement. Celui-ci atteint actuellement les 15 000 km.Les essais ont débuté en Angleterre sur les circuits de Donington Park et de Silverstone. Ils se sont ensuite poursuivis en Italie à Vallelunga prés de Rome Italie, en Espagne à Jerez de la Frontera.Puis, sur les circuits de Sakhir à Bahreïn, de Losail au Qatar, également aux Etats-Unis, à Road Atlanta, à Sebring et à Daytona. L’objectif était de se tester sur un échantillon des différents types de tracés représentatifs du défi qui attend Aston Martin en Mondial WEC et en IMSA.
Ian James, qui dirige la structure ‘The Heart of Racing a indiqué : « On peut toujours aller plus loin, mais je suis satisfait de la façon dont le programme a progressé et de la fiabilité dont nous avons fait preuve »Précisant :* « De la conception de la voiture à la création de l’équipe de course, je ne pourrais être plus satisfait de la façon dont tout s’est imbriqué. » François LEROUXPhotos : TEAM ]]>









