24 HEURES DU MANS 2020- CARLOS TAVARES AU VOLANT DE LA 908 PEUGEOT[/caption]
Le départ est donné par Carlos Tavares, le Président du Groupe PSA lequel a confirmé la veille le grand retour de la firme du lion en 2022 en Championnat du monde d’endurance et donc ua Mans . Et qui un peu auparavant a bouclé un tour du circuit installé derriére le volant de l’inoubliable 908 HDiFAP Peugeot !
Et la Rebellion pilotée par le Brésilien Bruno Senna joue crânement sa chance face à la Toyota de Mike Conway, mais sans succès. Puis Sébastien Buemi sur la deuxième Toyota cherche à passer Senna en se portant à sa hauteur dans les Hunaudières. Mais le Brésilien ne lâche rien et reste devant. Finalement Buemi reste derrière dans le sillage, attendant de meilleurs moments.
[caption id="attachment_338549" align="aligncenter" width="600"] L’une des ORECA United[/caption]
En LMP2, le Portugais Felipe Albuquerque qui brille en ELMS sur l’Oreca United Autosport prend le large et amasse un petit matelas de 4 secondes. Mais le coup de théâtre, c’est l’arrêt inattendu de l’Alpine à la fin du premier tour. Elle est rentrée dans son stand et perdra 7 minutes32.
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24 Heures du Mans 2020 – L’Alpine N°36 va trop vite repasser par son stand – Photo Patrick MARTINOLI[/caption]
L’Oreca N°29 du Racing for Nederland occupe la deuxième place en bagarre avec la High Class N°32 et la G Drive N°26 alors aux mains de Jean-Eric Vergne
Senna reste au contact à deux secondes de la Toyota de Conway et il bat le record du tour.
Les deux Oreca Autosport LMP2 pointent première et deuxième en LMP2 au 4ème tour. Mais la voiture du Racing Team Nederland, repasse de manière inattendue par les stands. Ce sera le cas deux fois de suite et la voiture plonge au classement pour échouer a bout d’une heure à la 55ème place.
L’Alpine de retour en piste après ses ennuis prend alors un ‘drive through’ et ce pour avoir coupé la ligne blanche à l’entrée des stands.
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L’Oreca N°31 du PANIS Racing Photo Thierry COULIBALY[/caption]
Les premiers ravitaillements sont lancés à 14 heures 55 pour les voitures du Panis Racing et du Dragonspeed évitant ainsi une slow zone au Dunlop, à la suite d’un accrochage entre deux GT.
C’est ensuite au tour des LMP1 de ravitailler. C’est la Rebellion N°3 du Français Nathanaël Berthon qui ouvre le bal, suivi un tour plus tard de celle de Senna imitée comme son ombre par la Toyota de Buemi. Et grâce à un réservoir plus petit, et donc un ravitaillement moins long, la Toyota récupère la deuxième position.
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Les deux Rébellion – Photo : Thierry COULIBALY[/caption]
Les LMP2 passent à leur tour par les stands, l’Oreca Autosport toujours en tête devant la G Drive et la Jackie Chan.
Au dixième tout, la voiture de tête du Britannique Conway s’arrête pour ravitailler à son tour.
A 15 heures 08, la Ligier N°35 du Team Eurasia Motorsport part en tête à queue en attaquant de manière optimiste une GT au Dunlop et reste plantée dans le bac à graviers.
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L’Oreca N°35 va finir en tète a queue Photo : Thierry COULIBALY[/caption]
A 15 heures 19, la Toyota N° 8 perd cinquante secondes et deux places en passant changer le pneu arrière gauche.
Le classement à la fin de la première heure est le suivant :
1.Toyota N°7 – 2.Rebellion N°1- 3. Rebellion N°3 et 4.Toyota N°8
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L’Oreca N°39 du GRAFF SO 24 – Photo : Thierry COULIBALY[/caption]
En LMP2, la N°22 Autosport se maintient en tête devant la 33 du High Class Racing et la 39 du SO24 by Graff revenue de loin et qui se trouve en belle position. Voiture comme me le souffle Gilles Gaignault, que pilote notamment le tout jeune Charles Milesi qui découvre à 19 ans et le monde de l’endurance et ses redoutables 24 Heures https://autonewsinfo.fr/2020/09/18/charles-milesi-va-decouvrir-les-24-heures-du-mans-a-19-ans-338379.html
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24 Heures du Mans-2020- La Ferrari F488 de chez AF Corse. Photo : Thierry COULIBALY[/caption]
En GT, le classement est aussi serré en GTE Pro, avec la Ferrari N°71 de la Scuderia AF Corse confiée à l’Espagnol Miguel Molina aux avant-postes, mais en duel avec l’une des Aston Martin, la N °97 du Belge Maxime Martin.
Enfin, en GTE Am, c’est l’Aston Martin Vantage, N°98 de l’Aston Martin Racing qui était leader.
Patrick MARTINOLI
Photos : Thierry COULIBALY et Patrick MARTINOLI
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