De 1960 à 1965, la marque Italienne de Modène a remporté, tant en Formule 1 qu’en endurance, tout ce qu’elle a pu glaner comme Trophées, Coupes, Championnats et titres mondiaux, avec des voitures entrées depuis dans la légende de l’histoire de la course automobile à l’image de la 156 Sharknose ou de la 250 GTO. En Formule 1, après son passage du moteur avant au moteur arrière, Ferrari, face aux meilleurs représentants Britanniques de l’époque de la formule 1, en particulier BRM, Lotus et Cooper, a permis, en 1961, à l’Américain Phil Hill et, en 1964, à l’Anglais John Surtees de remporter le titre mondial des conducteurs. En endurance, Ferrari, sans parler de ses multiples victoires aux 12 Heures de Sebring, à la Targa Florio, aux 1 000 Km du Nürburgring ou encore aux 12 Heures de Reims, a surtout remporté six fois consécutivement les très prestigieuses 24 Heures du Mans. Soit autant de victoires que de titres mondiaux aux yeux d’Enzo Ferrari. Toujours durant la même période, Ferrari a remporté cinq fois le Tour de France automobile, une course marathon jugée alors comme la plus exigeante des épreuves routières de l’époque. Riche de détails et d’anecdotes, ‘Ferrari 1960-1965 Le temps des sacres, est illustré d’une sélection des meilleures photographiques inédites prises, durant ces six années, par le regretté Bernard Cahier, aujourd’hui reconnu comme l’un des plus grands photographes du sport automobile de son temps.
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