Après une période de doutes suite à sa séparation d’avec le Team Andretti en Championnat des monoplaces US de l’Indycar Séries, les volants comme en F1 étant quasiment tous déjà attribués, la bonne nouvelle nous était parvenue, avec l’engagement de Romain Grosjean par le Team Juncos Hollinger. Lequel allait donc pouvoir et comme il le souhaitait et le désirait ardemment poursuivre sa carrière dans la discipline, pour une quatrième saison après 2021 et ses débuts chez Dale Coyne et ses deux années avec l’Andretti Autosport (2022-2023).
En parallèle, on savait aussi déjà que Romain faisait partie des pilotes officiels Lamborghini en endurance.Restait à connaitre son programme !Romain Grosjean pilotera donc bien la Lamborghini SC63, d’une part dans la catégorie GTP en Championnat d’endurance Américain de l’IMSA Weather la saison prochaine.Et d’autre part aussi aux 24 Heures du Mans !
« Je vais participer à toutes les courses d’endurance de l’IMSA, et également aux 24 Heures du Mans. Au Mans, je vais retrouver le public Français et il est vrai que de vivre aux Etats-Unis, la France me manque un peu. »On sait que Romain a eu l’occasion tout récemment de découvrir le pilotage de la Lamborghini lors de tests en Espagne et à Alméria et à Jerez de la Frontera, comme il l’explique : « J’ai pris énormément de plaisir à piloter et à participer au développement de cette SC63. Peaufiner tous les détails, établir les réglages de bases, ça me plait énormément. Je suis également impressionné par l’intégration du système hybride et sa facilité de gestion. »
Et Romain Grosjean d’évoquer alors la suite de sa carrière en IndyCar, en 2024 avec l’écurie Juncos :« Je pense être à une période de ma carrière où je n’ai plus besoin de prouver ce que je suis capable de faire. Ce qui m’intéresse en endurance, c’est l’esprit d’équipe. Dans cette discipline, il faut trouver le meilleur compromis avec ses coéquipiers. D’ailleurs, je suis plutôt accommodant sur plusieurs points, telle la position de conduite. Lors des essais à Almeria et à Jerez, tout m’allait bien. » Gilles GAIGNAULTPhotos : TEAMS
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