Pier Guidi, indiquait :« Après tant de mois passés dans le simulateur, j’ai enfin eu la chance de conduire la vraie voiture, et c’était une grande émotion » Et il poursuivait :« Conduire la Ferrari qui va revenir dans la catégorie reine de l’endurance cinquante ans après la dernière participation officielle a été très émouvant pour moi. Nous n’en sommes qu’au début, et beaucoup de travail nous attend, mais le sentiment est très positif. Je suis fier et heureux d’avoir présenté la LMH, qui marque le début d’une nouvelle aventure pour Ferrari. »A ses côtés, le jeune pilote Danois, Nicklas Nielsen, se réjouissait, lui :« C’était un jour spécial… Être l’un des premiers à conduire l’Hypercar de Ferrari sur la piste est un rêve devenu réalité »Et il enchaînait : « Depuis que je suis tout petit, je rêve de conduire une Ferrari, et le faire dans la voiture qui sera en compétition dans la catégorie supérieure est incroyable. Bien sûr, le chemin est encore long jusqu’aux débuts de la voiture en course, mais aujourd’hui nous avons fait un petit pas vers ce moment. »Au cours de la journée, les ingénieurs de Ferrari se sont concentrés sur la vérification des différents systèmes de propulsion et électroniques avant les sessions d’essais de développement, alternant entre les sessions sur la piste et les longues pauses nécessaires aux vérifications de routine.Une fois encore, le circuit de Fiorano, qui fête cette année son cinquantième anniversaire, a été le témoin d’un moment historique, la célébration du retour d’un Sports Prototype entièrement produit par Ferrari pour le Championnat du Monde d’Endurance. Florian DEFETPhotos : FERRARI]]>
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