(Toyota-Cadillac-Porsche-Peugeot et Ferrari) dans la catégorie reine, ce qui n’était plus arrivé …depuis 1999 ! Au volant, des stars dont treize anciens vainqueurs, dix-huit anciens pilotes de F1 et deux lauréats des très prestigieuses 500 Miles d’Indianapolis. Entre faits de course et intempéries, aucun concurrent en lice pour la victoire au général n’a été épargné et tous ont pris, un temps, les rênes de l’épreuve. Longtemps au coude-à-coude avec la Toyota GR010 Hybrid N° 8, la Ferrari 499P N° 51 du trio formé de James Calado-Alessandro Pier Guidi-Antonio Giovinazzi a finalement offert à Ferrari sa dixième victoire aux 24 Heures du Mans, alors que la marque effectuait son grand retour dans la catégorie reine après cinquante ans d’absence. Sa derniére apparition officielle en Sarthe remontant à l’édition… 1965, remportée par une Ferrari, le dimanche 20 juin, avec l’équipage composé de l’Américain Masten Gregory et de l’Autrichien Jochen Rindt, au volant d’une 250LM du Team US du NART (North American Racing Team) de Luigi Chinetti. La maison Ferrari signant un triplé, avec ensuite dans l’ordre, une autre 250LM, celle du Français Pierre Dumay et du Belge Gustave Gosselin et la 275 GTB de l’écurie Francorchamps de la paire Belge, avec Willy Mairesse et Jean Blaton (futur beau-père de Jacky Ickx qui épousera en 1ére noce sa fille Catherine) Dans cet ouvrage comme chaque année extrêmement complet, les experts que sont les auteurs grands spécialistes de l’endurance, vous content toute cette histoire des 24 Heures du Centenaire, de la Journée Test à l’arrivée, et ce en passant par la présentation complète des 62 voitures et des 186 pilotes, sans oublier le règlement ou encore toutes les manifestations extra-sportives.
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