Jack Miller (photos ci-dessus) a donc déçu alors que Ducati le voyait comme un Champion du monde!Ducati a toujours été le roi du casting raté, on se souviendra entre autres du recrutement façon ‘pont d’or’ de Jorge Lorenzo pour finalement le voir se faire battre par Andréa Dovizioso et… le virant ensuite dès qu’il commençait à gagner!L’autre maladie de Ducati en matière de casting est la prise de décisions beaucoup trop rapide ! On doit s’y prendre un peu pour des devins, on sait aussi que la moto est certes brillante, peut-être la plus brillante de toutes mais il faut un temps d’adaptation que l’on donne rarement aux pilotes.Enfin la troisième maladie de Ducati en recrutement est le jeunisme. Des souvenirs frustrés peut-être de la période Dovizioso qui n’arrivait pas à battre l’imbattable Marc Marquez… Et ces trois maladies ont de beaux restes. Ducati se soigne difficilement.La Gazzetta dello Sport, notre confrère italien aux pages roses consacre un long papier à Ducati avec un entretien de Paolo Ciabatti, le directeur sportif de la marque. On commence à dresser des plans sur la comète après le double désastre du récent Grand Prix d’Emilie Romagne et la perte du titre mondial décroché par le Français de Yamaha, Fabio Quartararo…Avec deux de ses pilotes les lus en vues, Jack Miller et Fransesco Bagnaia à terre, laissant Quartararo partir et filer vers le titre…
L’OBSESSION DU TITRE
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DU MONDE AU PORTILLON…MAIS PAS ZARCO!
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