Et un scandale de plus à l’actif de l’actuel FFSA et de son CHEF !
Nicolas Deschaux, en tant que président de la FFSA (Fédération Française du Sport Automobile) a convoqué le 29 juillet dernier, une Assemblée Générale, qui a fixé la date des élections fédérales au 7 octobre prochain. Problème… Ne daignant pas respecter ses propres statuts, Nicolas Deschaux n’a pas pris soin de renouveler sa licence fédérale, qu’il n’a prise que … le 27 août dernier ! En conséquence, et toujours selon les statuts fédéraux (article 5), il ne peut pas participer au fonctionnement et aux activités de la fédération. C’est clair. Sans licence, il n’avait donc pas le pouvoir de convoquer, ni de présider l’assemblée générale du 29 juillet, dont les décisions sont nulles et non avenues. La décision de fixer la date de l’assemblée générale élective au 7 octobre est donc elle aussi parfaitement illégale. Nous déposons un recours en annulation auprès de la juridiction administrative pour faire annuler cette élection au cas où Nicolas Deschaux s’entêterait à la maintenir, ce qui implique que toutes les décisions qui seraient prises par le Comité Directeur jusqu’à la décision du Tribunal Administratif seront également annulées. Curieuse attitude comme le rappelle Gilles Gaignault, pour un … juriste, de la promotion 13 de l’Ecole Centrale de Droit et Economie et Sport de Limoges !!! Mais juriste n’est pas visiblement .. un brevet d’honnêteté ! [caption id="attachment_319073" align="aligncenter" width="600"]
FIN DE PARTIE POUR NICOLAS DESCHAUX et JACQUES REGIS
Il est impensable d’en être arrivé là. Un tel mépris de la fédération et des licenciés est inacceptable. Il est évident que dans ces conditions, la FFSA ne peut plus être gouvernée par Nicolas Deschaux. Seuls comptent à ses yeux les simples 38 membres de l’Assemblée Générale qui le réélisent et se réélisent tous les quatre ans. Il n’a pas compris l’immense besoin de changement manifesté par la foule des licenciés qui soutiennent l’action de notre collectif « Pour une Nouvelle FFSA » à 97 % selon notre récent sondage. Circonstance aggravante s’il en est, la présence proprement scandaleuse sur sa liste de… Jacques Régis, l’ancien président réfugié … dans le paradis fiscal de l’Ile Maurice, à qui il pourrait transmettre à nouveau la présidence, et dont le retour soulève un tollé sans précédent, une véritable insulte à l’institution. Les licenciés n’en peuvent plus de ces manœuvres, de ce système opaque et dictatorial les privant de toute possibilité de se faire entendre, et de ces scandales à répétition dénoncés par les médias, Autonewsinfo, le Canard Enchaîné, Le Parisien, etc..