A quelque deux semaines du prochain GP de F1, le Grand Prix de Belgique qui se disputera ‘’sold-out ‘’ sur l’anneau Ardennais de Spa-Francorchamps, avec la présence de dizaines de milliers de fans Néerlandais, une seule question taraude les esprits parmi les fans de F1, tant en Belgique qu’à l’étranger : sera-ce le dernier ?
Effectivement, aussi bien en Belgique qu’ailleurs, des rumeurs en effet circulent actuellement à propos d’un projet de calendrier provisoire qui comporterait une version A et une version B parmi lesquelles LIBERTY MEDIA, la société Américaine détentrice des droits commerciaux de la F1, choisirait les 24 sites qui composeront le calendrier définitif pour la saison 2023.Et comme l’offre est plus importante que la demande… les places seront chères, car Stefano DOMINICALI qui tire les ficelles pour LIBERTY MEDIA, propriétaire des droits commerciaux de la F1, n’a que l’embarras du choix.Actuellement il n’y a pas l’ombre d’un doute quant à un projet de calendrier basé sur 24 GP à disputer et dont l’état d’avancement n’attend plus que l’approbation de tous les organes nécessaires.
Et dans la longue liste, on y retrouve comme nouveaux venus les GP de LAS VEGAS aux USA qui après MIAMI et AUSTIN fera donc office comme 3ème halte de la F1 au pays de l’Oncle Sam et le retour des GP de Chine, toutefois lié aux conditions sanitaires, du Qatar et d’Afrique du Sud à condition pour ce dernier que les travaux requis soient terminés à temps.La F1 n’est pas seulement populaire auprès des passionnés, elle l’est aussi manifestement auprès des organisateurs !
S’il est acquis que la F1, est un divertissement ayant pris de l’ampleur les dernières années grâce entre autre à la série télévisée américaine NETFLIX et sa plate-forme de vidéos à la demande ‘’Drive to survive’’, ce qui en soi est bon pour le sport mais qui n’empêche cependant pas que les GP doivent rester passionnants en se déroulant sur des circuits qui offrent du grand spectacle.Alors que le promoteur et détenteur des droits LIBERTY MEDIA opte manifestement pour une expansion des GP, le circuit et le pays où ceux-ci ont lieu, doivent être déterminants car c’est la seule façon de créer une base solide de fans.
GP DE FRANCE, DE BELGIQUE ET DE MONACO TOUJOURS DANS L’INCERTITUDE….
Selon certaines rumeurs à propos des deux ébauches de calendriers A & B, le GP de France ne figurerait sur aucune des deux listes où apparaîtrait toutefois le retour du GP d’Afrique du Sud à Kyalami et ce chaque fois au mois d’avril.
Concernant le GP de Belgique à Spa-Francorchamps? il ne serait pas repris sur la liste A mais bien sur la B en tant que premier suppléant en remplacement du GP de Chine qui pour les raisons évoquées précédemment pourrait ne pas avoir lieu.
Quant au GP de Monaco? son cas est spécial en raison de sa commercialisation perçue comme beaucoup trop avantageuse pour le promoteur l’AMC (Automobile Club de Monaco) qui en plus gère de manière autonome, la régie TV en plus de pouvoir commercialiser lui-même les revenus des panneaux publicitaires autour du tracé urbain ce qui représente une fameuse épine dans le pied de LIBERTY MEDIA, d’où l’incertitude qui plane encore autour de son avenir, malgré le fait que le prince Albert II de Monaco, serait intervenu personnellement (voir lien) auprès du promoteur américain avec des arguments pour faire pencher la balance en faveur du GP le plus glamour de l’année. GP DE FRANCE AU PAUL RICARD

GRAND PRIX DE BELGIQUE A SPA-FRANCORCHAMPS
Et comme entre-temps, des anciens et des pilotes en activité ainsi que des Directeurs Techniques d’écuries, se sont manifestés sur le sujet car avec 24 GP au programme pour 52 week-ends, les acteurs n’auront plus guère le temps de souffler avec en plus de nombreux décalages horaires (jets lags) à encaisser, reste à voir si les responsables du calendrier en tiendront compte.Pour savoir celui qui décrochera la timbale de la dernière place vacante il faudra probablement attendre le début du mois de septembre. Manfred GIETPhotos : Publiracing Agency et Bernard BAKALIAN 









