Despres en gestionnaire, Holowczyc première
Le Grand Marc qui racontait :
‘’ Ça a été une autre étape dure et compliquée, l’étape mythique de Fiambala. La spéciale a été un peu raccourcie. Au niveau physique c’est bien, mais pour moi, plus il y a de kilomètres, plus il y a de difficultés, plus il peut se passer des choses et je peux avoir des opportunités. J’ai commis une petite erreur et je la traîne. Mais je suis là, toujours en course pour gagner. Maintenant une nouvelle course commence avec l’Atacama. On va voir ce qui se passe.’’ Derrière le duo, le gap est en revanche bien plus impressionnant, et s’agrandit chaque jour d’environ une dizaine de minutes. Frans Verhoeven, qui avait réussi hier à tenir une allure presque comparable à celle des deux champions, n’a tenu qu’une cinquantaine de kilomètres avant de s’arrêter pour des problèmes mécaniques. Le Hollandais a réussi à reprendre son chemin, mais le retard pris remet probablement en question ses objectifs de Top 5. Pour le moment, Helder Rodrigues reste le plus régulier dans la poursuite des duellistes, mais pointe à 47 minutes. Sorti du jeu après une étape catastrophique hier, Joan Barreda reste quant à lui candidat à une victoire de spéciale : il montre une fois encore, en signant le 3ème temps du jour, que ses numéros peuvent payer ponctuellement. C’est aussi le registre dans lequel peut s’exprimer Stefan Svitko, signataire du 4ème temps de la spéciale, à 13’05” de Despres.
De Rooy qui engrange était un ‘’camionneur’’… HEU-REUX :
‘’Encore une très bonne journée pour nous, puisque nos 3 camions arrivent dans les premiers. il va falloir attendre un peu pour savoir eaxctement les positions, mais de toute façon, c’est bien…. Les premières dunes étaient très molles mais avec le couple de nos camions, ce n’est pas un souci… Mais bon, nous prenons les jours les uns aprèsles autres, et nous jouons la startégie d’équipe en vue du général pour éviter que Loprais ou les Kamaz ne puissent faire un trop gros coup. Normalement, les Kamaz devraient être plus menaçants que ça, mais pour l’instant la course tourne en notre faveur.’’ Loprais, prècisant : ‘’ La spéciale d’hier a été beaucoup plus difficile pour nous, car nous avons dû rouler les 120 derniers kilomètres sans pare-brise, ce qui n’était vraiment pas simple avec tous les gués à traverser! Aujourd’hui, ça s’est bien mieux passé, et nous avons juste couru contre le chronomètre en essayant d’être le plus rapide possible dans une spéciale vraiment typique du Dakar. Cela dit, la course se décidera selon moi dans la 2e semaine, alors pour l’instant nous survivons jusqu’à la journée de repos, et ensuite nous verrons quelle stratégie adopter…’’]]>