Cette année le Grand Prix de France de Formule 1, ne figure pas au calendrier des GP de la FIA !
Relancé en 2018 pour cinq éditions et à l’initiative de l’actuel maire de Nice, à l’époque Président de la région PACA (Provence Alpes Côte d’Azur) et qui fut auparavant ministre, Christian Estrosi – brillant pilote International moto ayant participé dans sa jeunesse à la fin des années 70, aux Grands Prix et au Bol d’Or – la manche Française pourrait bien faire son retour !
On sait que Jean Alesi, l’ancien vainqueur du Grand Prix du Canada en 1995 avec Ferrari a été nommé au printemps dernier Président du circuit Paul Ricard, que dirige Stéphane Clair et où il a succédé à Claude Sage, la piste Varoise du Castellet qui a accueilli ces dernières années, ce GP de France.
Et dès sa nomination, l’Avignonnais a déploré l’absence de volonté nationale pour que la France ait son Grand Prix de France de F1.Jean Alesi, confiant :« Ce serait un honneur de pouvoir parler avec un président de la République d’un sujet qui me tient à cœur. Mais je pense qu’il a d’autres priorités ! »
C’est – qui pouvait aussi vite l’imaginer – donc la raison pour laquelle, la ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castera, a été interrogée sur les paroles de Jean Alesi et aussi naturellement sur celle de Stefano Domenicali, le patron de la F1 chez le promoteur des Grands Prix, Liberty Media, qui n’est pas opposé et hostile au retour de la France au calendrier des GP.
Et elle a répondu, déclarant :« Je pense que c’est plutôt encourageant et positif que le patron de la Formule 1, ait récemment exprimé un tel désir pour la France. »Et elle a encore précisé et ajouté :« Par conséquent, nous allons travailler sur une feuille de route. Il nous faut maintenant attirer les bonnes personnes et en France elles ne manquent pas, y compris parmi nos illustres élus pour développer un bon projet et entrer en dialogue avec la direction de la Formule 1. » Gilles GAIGNAULTPhotos : Bernard BAKALIAN – F1 ]]>









