MIER GARDE SON NO 36 MÊME QUAND IL FAIT DU CROSS![/caption] Dans le monde des sports mécaniques, le rapport avec ce numéro 1 est très particulier. Bien sûr le seul pilote du plateau à y avoir droit est le Champion du monde de la saison qui vient de se terminer.A moto, celui qui a rompu avec cette tradition est le regretté Champion Britannique Barry Sheene, qui après ses titres mondiaux en 500cc, en 1976 et 1977, a conservé et gardé son célèbre numéro fétiche, le 7. [caption id="attachment_346920" align="aligncenter" width="600"]
SHEENE ET SON SEPT BARRÉ, SAUF SUR SA COMBARDE[/caption] Un 7 qui a été barré, à la mode française, à partir de son titre de 1976, contrairement à la façon anglaise qui n’en utilise pas. L’ami Jacques Bussillet, journaliste historien, vient de me confirmer ce que j’avais découvert sur les photos que je regardais, je l’en remercie.En fait, académiquement, le sept barré sert essentiellement à ne pas le confondre avec le chiffre 1, chose qui rejoint directement la décision de l’ami Sheene! [caption id="attachment_346921" align="aligncenter" width="600"]
ROBERTS N’AURA AUCUN ÉTAT D’ÂME[/caption] Ensuite la tradition reprend, avec par exemple l’Américain Kenny Roberts… Qui lui le porte fièrement le ‘Number One’…Puis c’est Valentino Rossi, on est alors en 2002, qui décide de garder son numéro fétiche, aujourd’hui devenu un symbole, le célèbre 46.
Un petit passage par la tradition avec Casey Stoner, en 2008 car titré en 2007 et on revient du coup au fétichisme.
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