Sa dernière apparition au volant d’une voiture de course remontait aux … Km de Suzuka en 1996 ! A l’époque, il pilotait une Porsche 911 du Team MONTOIT de Manuel Monteiro. Auparavant, il avait roulé en BPR, au volant d’une Ferrari 355, du Yellow Racing d’Auvergne Moteurs, de Philippe Gardette. En 1997, il avait piloté une Chevrolet Corvette aux USA, en compagnie de notre ami Pascal Dro – aujourd’hui éditeur des magazines Grand Prix et Formules- dans le Championnat IMSA. Depuis, accaparé par son business à Genève, Henri-Louis avait délaissé la compétition. Marié à la petite fille – Samantha – de l’ancien propriétaire de la très grande écurie que fut pendant les années 60, la très prestigieuse Scuderia Filipinetti, Henri-Louis, a pourtant repris ce week-end, place dans un baquet ! Nommé au printemps dernier au poste de DG du Paul Ricard, en lieu et place de Claude Sage qui aspirait, lui, à prendre du recul à 78 ans, il a retrouvé comme pilote, le circuit Paul Ricard. En effet à l’occasion de la finale du Championnat de France GT Tour qui se déroule sur le circuit Paul Ricard, Hugues de Chaunac, le promoteur du GT Tour, lui a proposé de rouler.
Il nous lâche :
« Hugues a estimé que la Supercoppa SEAT était le bon choix. » Et de nous raconter : « J’ai découvert ma Léon lors de la 1ére séance de roulage, vendredi matin. « Impressions « Voiture très saine. C’est une traction mais bien équilibrée et qui réagit très bien aux transferts de masse. Le boss du Circuit avait tout de même un petit avantage, celui de parfaitement connaitre ‘son’ circuit, roulant sur le tracé du Castellet, depuis des lustres et des décennies. Et régulièrement encore, lors de sorties de clubs. Il faut encore rappeler que l’ami Maunoir, a fait l’École WINFIED, il y a plus de trente ans. La célèbre institution que dirigeait Simon de Lautour avec les frères, Mike et Richard Knight Celle qui a révélé les Tambay, Panis, Pironi, Alesi et un certain … Alain Prost, entre autres. Par conséquent la piste provençale, il la connait par cœur Les qualifs vendredi se sont déroulées sur piste détrempée une violente averse s’étant abattue sur le Paul Ricard.

En conclusion, l’objectif fixé a été atteint
« Mon but était essentiellement de me faire plaisir. J’ai retrouvé les bonnes sensations que l’on ressent derrière un volant. Expérience sympa et intéressante mais me démontrant que sans rouler régulièrement on est condamné à rouler derrière le peloton. J’ai eu beaucoup de plaisir mais il s’agissait d’un one shot »AVEC STÉPHANE CLAIR ET JACQUES BIANCHI DE LA CHAMBRE DE COMMERCE DU VAR

